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Le making-the-world-a-better-place-washing, technique de communication trop fréquente chez les startups, trompe avec succès beaucoup de monde et en premier lieu les médias. Les startups savent comment vendre leurs belles histoires d’amélioration du monde aux journalistes qui se contentent généralement de répéter les communiqués de presse, faute de temps et de moyens. On connaît l’état de la presse : elle souffre.
Les startups sont très fortes pour se présenter en chevalier blanc, en David face à Goliath, en nouveau face à l’ancien, en héros. Bien joué : tout le monde aime les héros ! Et les médias aiment les histoires qui plaisent à leurs lecteurs.
Pour les moins jeunes, c’est un peu le retour de Bernard Tapie.
Au final, en matière d’histoires de héros, on se retrouve coincé entre des fous de Dieu nihilistes et des startupers capitalistes vendeurs de gadgets. Alors qu’il doit bien exister des individus réellement et humainement inspirants. Non ?
It is tempting to accept this kind of requests because we are under the impression that it would help the product manager or the sales. It make us feel that we are doing something good for someone; we are nice. Actually our job is to be reliable, far before being nice or friendly. Our job is to provide a product of an expected quality in a controlled cost, even if it means that we sometime have to refuse to help someone we wish we could. Just refuse nicely.
Par un collègue dev.
Ce qu'il dit est également valable pour le métier de sysadmin.